Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Elections municipales ce dimanche

30/06/2009 19:15

Elections municipales ce dimanche


Aux urnes citoyens ! Les loups sont aux portes de la ville... Citoyens allez en masse ce dimanche clamer votre rejet d'un parti liberticide. Un parti qui vous interdira de penser, vous imposera son modèle maurassien de la socièté, vous exposera l'image fausse d'une France mythifiée par le Maréchal Pétain,  vous clamera qu'en religion seule l'église catholique intégriste est digne des français et fera du rejet des autres une institution. Bref un parti anti républicain, en opposition avec une certaine idée de la France, cette idée  qu'incarnait le Général De Gaulle. Ce dimanche, vous pouvez encore éviter ce cauchemar en votant massivement pour la liste républicaine et démocratique qui se présente contre les fossoyeurs de la France en général, et de notre ville en particulier !

Le comité  local DLR Hénin Beaumont






C'est l'histoire d'un maire ...

30/06/2009 18:43

C'est l'histoire d'un maire ...


http://blog.nicolasdupontaignan.fr/index.php/post/2009/06/30/C-est-l-histoire-d-un-maire-...

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Passeports biométriques : le ministère de l’Intérieur prend ses désirs pour la réalité !

A la veille de vacances qui risquent bel et bien d’être annulées pour nombre de Français en attente d’un passeport biométrique, le ministère de l’Intérieur noie le poisson pour fuir ses responsabilités.
Les affirmations de l’Agence nationale des titres sécurisés, selon lesquelles le délai moyen actuel de délivrance du passeport biométrique est de 7 à 10 jours, sont à cet égard des plus fantaisistes et particulièrement méprisantes pour les centaines, voire les milliers, de Français qui vont devoir annuler leurs vacances. Le ministère de l’Intérieur doit cesser de prendre ses désirs pour la réalité !
Dans la seule ville d’Yerres dont je suis Maire, le délai moyen s’élève en réalité à 6 à 8 semaines (ainsi, les dossiers de la fin mai sont encore en cours de traitement à la préfecture d’Evry) et ce sont près de 270 dossiers de passeport qui sont en souffrance (sur un total de 346 demandes transmises par la Mairie à la Préfecture depuis le 12 mai). Pire, les services de l’Etat, malgré la bonne volonté des agents préfectoraux, sont dans l’incapacité de fournir un échéancier précis quant à la délivrance finale des passeports !
Au lieu d’atermoyer, les pouvoirs publics doivent mobiliser les moyens adéquats dans les préfectures afin de réussir à délivrer dans les délais requis les passeports en souffrance. A défaut, au minimum, le gouvernement devra assurer le remboursement intégral des sommes engagées par nos malheureux concitoyens, qui n’ont pas à faire les frais de l’insuffisante organisation des services publics.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Maire d’Yerres Président du rassemblement gaulliste Debout la République





La vérité crue du libre échange en chiffres

29/06/2009 21:21

La vérité crue du libre échange en chiffres


Un chômeur européen sur deux doit remercier le libre-échange

Jacques Sapir, Marianne2.fr, lundi 29 juin

C’est l’estimation de Jacques Sapir. Selon l’économiste, l’impact sur l’emploi du libre-échange inégal représenterait au moins la moitié des 8,3% de chômage constatés avant la crise. Sans compter les 2 millions de nouveaux chômeurs constatés depuis le début de l’année, victimes directes d’une crise du libre-échangisme.
L’impact de la crise actuelle vient s’ajouter à la pression des délocalisations qui pèse sur l’industrie française depuis maintenant à peu près une dizaine d’années. L’évaluation précise du coût en emploi de cette pression, issue du libre-échange dans les conditions présentes, soulève plusieurs difficultés.
En effet, tout d’abord il faut savoir qu’un emploi dans l’industrie a un impact direct sur des emplois dans les services, ce qui est toujours vérifié lors de plans sociaux industriels importants. Mesurer l’impact des délocalisations uniquement sur les emplois industriels sous estime considérablement l’impact total sur l’emploi.
Ensuite, il faut prendre en compte le fait que dans le processus de délocalisation on doit compter trois effets distincts mais qui viennent se cumuler.
- Les délocalisations directes
Il s’agit ici d’emplois déjà existants dans un pays et transférés dans un autre pays (en général par fermeture de l’usine dans le pays d’origine). On considère de manière générale que ces délocalisations ont affecté environ1,5% des emplois industriels en France soit à peu près 0,5% de la population active.

- Les délocalisations indirectes

Il s’agit ici de la création délibérée d’emplois à l’étranger pour servir non pas le marché local mais pour la réexportation vers le pays d’origine. On est en présence de ce phénomène quand une grande entreprise conçoit un nouveau produit et en réalise l’industrialisation d’emblée dans un pays à faibles coûts salariaux et ce à but de ré-export. Cette pratique est devenue systématique dans l’industrie automobile depuis une dizaine d’année.
Il y a là un « manque à employer » plus qu’une destruction directe d’emploi, et on peut le chiffrer dans le cas de la France entre 250 000 et 400 000 emplois, suivant les hypothèses de productivité, soit entre 1% et 1,6% de la population active.

- L’effet dépressif sur le marché intérieur

La menace des délocalisations et le chantage auquel se livrent les entreprises ont conduit à maintenir les salaires dans l’industrie à un niveau très faible et à exercer une pression croissante sur les salariés. La faiblesse des revenus tend à déprimer la consommation et donc la demande intérieure.
La pression sur les salariés, pour que les gains de productivité compensent les gains possibles en bas salaires, est une des causes principales du stress au travail et des maladies qui en sont induites. Faute d’une enquête épidémiologique systématique en France, le coût de ces maladies n’a pas été globalement estimé. Pour des pays comme la Suisse ou la Suède, où des enquêtes systématiques ont été réalisées, on arrive à 3% du PIB. En France, ceci signifierait près de 60 milliards d’Euros, qu’il faut comparer aux 15 milliards du déficit de la sécurité Sociale.
Il est clair que si les gains salariaux avaient pu suivre ceux de la productivité, et si l’on avait pu économiser ne serait-ce que 1% du PIB en cotisations tant salariées que patronales, on aurait eu un impact très fort de ce surcroît de pouvoir d’achat sur la croissance. On peut alors estimer à 1% de la population active au minimum le gain en emploi (ou la réduction du chômage) que l’on aurait pu obtenir. Cependant, ce gain est global et ne concerne pas uniquement l’emploi industriel.

Lire la suite de l’analyse de Jacques Sapir sur Marianne2.fr






URGENCE

27/06/2009 23:06

URGENCE


En 2002, la lutte contre l’insécurité avait été érigée en priorité nationale.
Après la myopie du gouvernement JOSPIN qui d’ailleurs lui avait coûté son éviction dès le 1er tour de la Présidentielle, les gouvernements de Jacques CHIRAC, avec notamment Nicolas SARKOZY comme Ministre de l’Intérieur, avaient – il faut bien le reconnaître – repris les choses en main. Augmentation des effectifs de Police, durcissement de la politique pénale, etc… Les résultats avaient été au rendez-vous.
Curieusement, une fois élu Président de la République, Nicolas SARKOZY s’est désintéressé du dossier, croyant que sa seule image «sécuritaire» suffirait à résoudre les problèmes.
La situation se dégrade désormais à nouveau.
La pression budgétaire de Bercy (pour la 1ère fois, des milliers de départs en retraite ne sont pas remplacés), et l’influence de la pensée unique, tétanisent le gouvernement.
L’augmentation spectaculaire des vols à main armée, la progression continue des agressions sur les personnes traduisent à nouveau le sentiment d’impunité des délinquants qui font régner la terreur dans les quartiers.
La clémence l’emporte toujours dans les Palais de Justice. L’absence de places suffisantes dans les prisons (60 000 places en France contre 80 000 en Angleterre) contribue à cette fausse idée qui circule : tout sauf la prison.
Or, comment rétablir le calme sans mettre en œuvre des peines immédiates et fermes après chaque délit ?
Il ne s’agit pas, bien sûr, de mêler les détenus dans des prisons dépotoirs mais de mettre en place un système judiciaire à l’image de ceux de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne.
Certes, il faudra en payer le prix mais cela coûtera toujours moins cher que cette loi de la jungle qui progresse partout en France au détriment des plus faibles.
NDA





L’euro cher, revu et corrigé par Bernard Maris

26/06/2009 20:41

L’euro cher, revu et corrigé par Bernard Maris


LIBERATION.fr

« La politique de l’euro fort pénalise la France »

LE BAC VU PAR Libération.fr a proposé à plusieurs personnalités de se prêter à un exercice libre à partir des sujets du bac. Ce mardi, l’économiste Bernard Maris a joué le jeu en planchant sur la dissert du bac ES. Voici sa copie.
En même temps que les élèves et en un temps record (1h32), l’économiste Bernard Maris, auteur notamment de l’Antimanuel d’Economie (tome 1 et 2), a planché sur le sujet de dissertation proposé ce mardi matin aux candidats au bac ES.
Rappel du sujet : Dans quelle mesure les pays membres de l’union économique et monétaire (UEM) disposent-ils de marges de manœuvre suffisantes en matière de politique économique ?

Par BERNARD MARIS, économiste et essayiste

Les membres de l’UEM (la France, l’Allemagne) ont connu par le passé des périodes inflationnistes dramatiques. Le choix de la stabilité monétaire et de la monnaie unique vise à supprimer les risques inflationnistes et organiser une concurrence entre ces pays « saine » et non-monétaire (éviter les dévaluations compétitives). Laissant à la BCE la définition des taux d’intérêt et de la croissance de la masse monétaire, les Etats membres de l’UEM ont néanmoins des marges de manœuvres limitées en matière de politique économique. La « contrainte monétaire » les a guidés vers une politique de l’offre, qui s’est avérée peu efficace.
1. Les limites des politiques budgétaires
Les limites du déficit, de la dette publique, l’interdiction de recourir au financement monétaire pour couvrir le déficit, limitent la politique fiscale, qui devient l’instrument essentiel de la politique économique, au sens quantitatif.
Certes, les Etats peuvent toujours avoir une politique économique « qualitative » forte (réformer leur droit du travail par exemple, leur système de formation ou de santé par exemple) : c’est le sens de la « Stratégie de Lisbonne », qui n’est que l’habillage d’une politique de l’offre allant dans le sens d’un « moins-disant » généralisé et une adapatation aux législations des pays supposés les plus compétitifs. De même, la politique fiscale ne peut que tendre vers le moins-disant (harmonisation des barèmes de l’impôt sur les sociétés par exemple), sauf à briser la compétitivité du pays. La contrainte monétaire implique donc a priori un moins-disant budgétaire et un moins-disant en termes de partage social et de protection du travail.
La limite de l’inflation implique des taux d’intérêts élevés et une limitation du crédit, ce qui explique largement les mauvais résultats de la zone euro en matière de chômage et de croissance –l’Irlande devant sa croissance aux subventions européennes et à sa politique de « passager clandestin », au dumping fiscal qui lui a permis d’attirer des entreprises des nouvelles technologie.
La politique de l’euro fort pénalise particulièrement la France qui n’est pas en position d’imposer les prix comme l’Allemagne (la France subit les prix internationaux, l’Allemagne fait les prix de ses exportations). L’interdiction d’endettement obère les politiques publiques et de recherche.
L’argument du taux d’intérêt fixe qui supprime « l’effet d’éviction » est donc difficilement recevable : 1) L’emprunt public est limité par le Pacte de stabilité. 2) Le taux d’intérêt de la BCE est lui-même contraint par un énorme marché monétaire international, auquel ont volontiers recours les emprunteurs.
2. L’insuffisance des marges de manœuvre
La stabilité des prix est liée à une politique sous-jacente de rigueur et de monnaie forte, privilégiant les détenteurs de liquidités plutôt que les investisseurs. Le choix de la stabilité monétaire conforte une économie d’épargne et de rente plutôt que d’emprunt et d’investissement. Les entreprises sont amenées à trouver des marges de respiration en délocalisant, investissant hors de la zone de l’UEM, et en faisant de plus en plus appel au système bancaire et financier international.
La pression sur les salaires exercée par la volonté de maintenir un taux d’inflation trop bas restreint la demande intérieure et oblige à accepter un fort taux de chômage limitant lui-même les salaires. Cette ambiance «déflationniste» n’incite pas aux efforts de recherche et de productivité, que d’autres pays – les Etats-Unis, la Grande Bretagne – peuvent entreprendre grâce à une politique d’endettement privé et public beaucoup plus accomodante. La question du pouvoir d’achat, résolue dans ces pays par l’importation de produits à prix cassés, devient cruciale dans les pays de la zone euro.
Dans ces conditions la Stratégie de Lisbonne, mettant l’accent sur les politiques de l’offre et la déflation compétitive est simplement catastrophique: la pression interne sur le travail, l’appel systématique aux produits importés, le refus de redéfinir le partage interne des revenus enfoncent tranquillement des pays comme l’Allemagne et la France dans une croissance déflationniste et molle, sans progrès technique et avec un taux de chômage élevé. Les liquidités, elles, se portent vers la spéculation et les marchés financiers risqués et largement parasitaires.

Conclusion: L’échec des pays de l’UEM par l’impossibilité de mener une véritable politique économique.
La crise remet en cause le dogme de l’autonomie de la BCE, et de l’absence de politique monétaire – sinon pour répondre en urgence à des faillites. Le risque déflationniste et celui d’une situation à la Japonaise succède désormais à l’objectif mal compris de la stabilité des prix: la stabilité des prix est aussi, implicitement, une politique du partage du revenu.





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